• COMMUNIQUE DE MARIE-HELENE LEOTIN

    CANDIDATE DE L’ALLIANCE MIM-CNCP AU 1er TOUR DES ELECTIONS CANTONALES DU 20 MARS 2011, SUR LE CANTON 2 DU FRANCOIS

     

     

    Au lendemain du 1er tour des élections cantonales de mars 2011, je remercie  tous les Franciscains et Franciscaines du canton Sud qui ont porté leurs suffrages sur les candidats patriotes de l’Alliance MIM-CNCP : Marie-Hélène Léotin et Maurille Saint-Prix. Nous avons mené une belle campagne en défendant nos idées : réussir de façon sereine et sans perte de temps la mise en place de la Collectivité de Martinique, avancer sur le chemin de la responsabilité politique pour le peuple martiniquais, commencer à résoudre nos problèmes sur la base d’une plus grande cohésion nationale.

    Dans les élections il existe toujours une certaine part d’affectivité, ce qui en fait  souvent une affaire de partisans plus qu’une affaire de militants. Nous avons des militants qui travaillent à conscientiser le peuple martiniquais sur la nécessité de se prendre en charge pour construire son projet de société. D’autres ont mobilisé les électeurs sur des bases plus ou moins affectives. Les résultats sont là et nous en prenons acte.

     

    Sur l’ensemble de la Martinique, il y a un deuxième tour dans 19 des 23 cantons renouvelables.

    Dans le cadre de ce deuxième tour, notre position de fond demeure la même que celle définie lors du premier tour : nous appelons  les électrices et électeurs à se mobiliser pour faire gagner tous les candidats,  présents au second tour, qui s’inscrivent dans une démarche de responsabilité martiniquaise et de soutien au président Claude Lise, plus particulièrement les candidats du MIM, du PALIMA et du RDM.

     

    En ce qui concerne le canton 2 du François, dans la mesure où le candidat Samuel Tavernier, arrivé en seconde position au 1er tour, confirme qu’il se situe  dans cette démarche, et compte tenu de l’enjeu que constitue la préparation de la mise en place de la Collectivité Unique, j’appelle  les électeurs du canton Sud à  à voter Samuel Tavernier au second tour, le dimanche 27 mars 2011.

     

    Marie-Hélène Léotin


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  • Elections cantonales :

    Déclaration du Parti Communiste Martiniquais

    Pour que le Conseil général reste au service de l’intérêt commun

     

    La campagne pour le dernier renouvellement du Conseil général de la Martinique aux élections cantonales des 20 et 27 mars prochains se déroule à un moment où la Martinique aborde un tournant important de son histoire, avec la perspective de mise en place de la Collectivité unique. Ce qui incite les adversaires de la majorité sortante à se lancer dans une démagogie indigne.

     

    La Martinique, société en crise

    D’abord, elle intervient dans un contexte de crise économique et sociale d’une gravité exceptionnelle caractérisée par :

    -Un recul de l’activité dans presque tous les secteurs, conséquence de la politique néocoloniale départementale qui a réduit notre économie à privilégier l’importation au détriment de la production locale.

    - Un chômage massif avec près de 30% de la population active, en particulier les femmes, et les jeunes sans emploi à plus de 61% et un accroissement de la pauvreté.

    - Les ravages de la politique anti sociale et réactionnaire du gouvernement : suppression de postes et démantèlement dans les services publics, quasi blocage des salaires et retraites, etc.

    - L’inefficacité de toutes les politiques de développement conçues depuis Paris et basées sur la défiscalisation aux effets ravageurs : spéculation immobilière, destruction des terres agricoles victimes de la Chloredécone, de la bétonisation et du Photovoltaïque….

    - Crise du logement social,

    - Etc.

     

    Qui sont les vrais responsables de la crise ?

    Loin de faire une analyse sérieuse des causes réelles de la crise, le PPM et ses alliés se sont lancés dans une campagne démagogique visant à faire porter la responsabilité de la crise en Martinique à Alfred Marie-Jeanne et à Claude Lise, faisant semblant d’ignorer qu’elle est la conséquence:

    -De l’absence d’un véritable pouvoir de décision maîtrisé par nos élus.

    - De la mondialisation capitaliste et de l’intégration à l’Europe qui imposent au nom du profit (licenciements boursiers) la destruction des emplois.

    - De la politique libérale conduite depuis de longues années par les gouvernements français qui se traduit par des transferts de charges vers les collectivités locales sans compensations financières équivalentes et par l’insuffisance des dotations budgétaires.

    - De la volonté du grand patronat martiniquais de briser l’aspiration des travailleurs à plus de justice sociale illustrée par la crise sociale du 5 février 2009

     

    Sous la présidence de Claude Lise, le Conseil général, une collectivité au service de l’intérêt commun.

    Depuis l’accession à la présidence de Claude Lise, le Conseil général a conduit une politique au service de l’intérêt commun du peuple martiniquais.

    Au moment où par ambition personnelle ou par volonté de contrôle de toutes les structures politiques du pays, le PPM et ses alliés s’acharnent à discréditer l’action du conseil Général, l’exigence de vérité, en dehors des calculs partisans, commande de reconnaître la qualité de l’action du Conseil général dans de multiples domaines, cela bien au-delà de ses compétences légales. Il faut admettre aussi le rôle qu’il joue dans l’amortissement des effets de la crise avec un soutien aux plus faibles et à l’économie du pays.

    Qui peut ignorer les actions de cette collectivité dans les domaines aussi variés que l’aide sociale à l’enfance comme aux personnes âgées ou handicapées, la santé, l’eau potable, l’éducation, l’aide aux étudiants, l’agriculture, les ports de pêche, la culture, les équipements sportifs dont le financement à haut niveau du stade de Fort de France et de l’aménagement du front de mer de la capitale, alors que la ville était virtuellement en faillite ?

    C’est cette politique de développement durable qui l’a conduit à s’endetter dans des limites raisonnables tant pour le financement de ses propres programmes qu’au profit des communes et qu’exagèrent aujourd’hui quelques assoiffés de pouvoir. Les mêmes avaient reproché contradictoirement à Alfred Marie-Jeanne de ne pas avoir endetté la Région par frilosité.

     

    Pour une majorité favorable à la responsabilité du peuple Martiniquais

    Le Parti Communiste Martiniquais qui a toujours milité pour la responsabilité de notre peuple et pour une Martinique au travail, se doit de dénoncer cette campagne fondée sur la désinformation et la peur développée par le PPM et ses alliés depuis la consultation du 10 janvier 2010.

     Il dénonce le revirement de tous ceux qui ont renié leur engagement en faveur de l’autonomie et qui ont trahi la cause de l’émancipation du peuple Martiniquais.

    Il s’engage résolument en faveur des autres forces de progrès, ( MIM, RDM, Palima, Modémas et CNCP), qui se sont clairement prononcées en faveur d’une évolution statutaire dans le cadre de l’article 74.

    D’autant que des résultats des prochaines cantonales dépendront les conditions de mise en place de la nouvelle Collectivité Unique de Martinique que le PPM et ses alliés cherchent à renvoyer à 2014 et à confisquer à leur profit.

    Face à la tentative du PPM et de ses alliés de détourner le choix exprimé le 24 janvier 2010, par la majorité des Martiniquais en faveur de la fusion le plus rapidement possible des deux collectivités dans le cadre de l’article 73 de la Constitution, le Conseil général doit demeurer jusqu’au bout la collectivité qui continue à œuvrer pour le bien être de notre peuple et à veiller au respect de la volonté de nos concitoyens.

    La PCM lance un appel à la mobilisation citoyenne de ses militants et de la population pour une participation active aux cantonales des 20 et 27 mars pour déjouer toutes les manœuvres afin d’assurer la victoire des candidats qui, avec le PCM, militent en faveur d’un véritable pouvoir martiniquais.

    Pour le PCM

    Le secrétaire général

    Georges Erichot


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  • CONNAITRE NOTRE HISTOIRE POUR MIEUX ASSUMER DEMAIN

     

     Accueil - Kontan wè zôt !

     

     

    Le 8 février 2011, les conseillères municipales du François, Marie-Hélène Léotin et Francine Carius, de la liste Mi Mouvman Franswa, ont organisé une manifestation de commémoration de la grève de février 1900, première grève générale des ouvriers agricoles en Martinique, et qui fut marquée par un épisode tragique : la fusillade du François le 8 février 1900. Toutes les grandes exploitations de cannes, tous les gros centres usiniers étaient arrêtés. Les ouvriers marchaient pour 2 francs. Ils ont reçu des balles devant l’usine du François.

     

    Une rue qui passe non loin des terrains de l’ancienne usine, près du canal, sur l’emplacement où a eu lieu la fusillade, a été baptisée, voilà déjà fort longtemps,  « Boulevard des Fusillés ». Mais le panneau n’y était plus depuis de nombreuses années, en dépit des relances faites auprès de la municipalité. Symboliquement, le groupe des Patriotes du François a pris l’initiative de baptiser à nouveau cette rue, en mettant une pancarte : « Boulevard des Fusillés de 1900 ». Après les discours officiels, ce fut le dépôt de gerbe, en hommage aux vaillants ouvriers agricoles de février 1900.

     

    Que le souvenir des luttes ouvrières reste gravé dans le paysage martiniquais afin que les générations qui viennent trouvent la force et la détermination pour mener les combats du XXIe siècle !

     


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  • Cantonales des 20 et 27 mars 2011

     

    DÉCLARATION DU CNCP

    Conseil National des Comités Populaires

     

     

    En 2012 nous aurons à mettre en place la Collectivité de Martinique, nouvelle étape dans le cheminement du peuple martiniquais vers davantage de responsabilité, mais avant cela,  auront lieu en Mars 2011 les élections cantonales  pour procéder au renouvellement de la moitié du Conseil Général.

    De ce fait, ces élections cantonales constituent un point de passage pour la réussite de la Collectivité de Martinique. L’enjeu le plus évident est celui de la conservation de la présidence du Conseil Général par Claude Lise du RDM (Rassemblement Démocratique Martiniquais).

    Le CNCP a affirmé en 2003 sa position en faveur de l’Assemblée Unique.  En 2004 nous avons noué une alliance exemplaire avec le MIM pour le renforcement  du travail des patriotes dans notre pays. En 2010, nous nous sommes engagés dans la démarche de consensus politique pour la responsabilité que représentait le Rassemblement Martiniquais pour le Changement.  Notre démarche de consensus pour l’avancement de la cause martiniquaise se poursuit aujourd’hui dans le cadre de ces élections cantonales de Mars 2011 à travers le soutien réciproque aux candidats du MIM, du PALIMA, du RDM et du MODEMAS

    C’est dans ce cadre que se situe la candidature de notre camarade Marie-Hélène LÉOTIN au François (Canton 2) avec comme remplaçant Maurille  SAINT-PRIX du MIM.

    Nous appelons les Martiniquaises et les Martiniquais à voter pour les candidats désignés par ces partis dans les différents cantons où ils se présentent.

       

                                                                                         Le CNCP

                                             Conseil  National des Comités Populaires

     

     

     


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  • APPEL D’ALFRED MARIE-JEANNE

    Le bon sens nous commande

    La morale nous le demande

    Alfred Marie-JeanneEnsemble portons nos suffrages an grand bondans sur les candidats suivants :

     

    Lise N’GUELA

    Trois Ilets

    Marie-Line LESDEMA

    Fort deFrance 3

    Daniel MARIE-SAINTE  

    Lamentin 2

    Alain RAPON

    Trinité

    Lionel DESROSE  - Sainte-Marie 1

    Lucien ADENET -  Rivière Pilote

    Léone BARDURY 

    Schoelcher 2

    Marie-Hélène LEOTIN 

    François 2

    Yolande GRUBO - Fort de France  4

    Marcelin NADEAU  - Prêcheur

     

    Alfred MARIE-JEANNE

    Président du MIM - Député de Martinique

     


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